De la présence d’une police de proximité, bien formée et présente au quotidien ;

Un retour et un développement des services publics à la hauteur des enjeux et des besoins sociaux de nos quartiers qui souffrent particulièrement des difficultés d’accès à leurs droits ;

D’avantage de travailleurs et travailleuses sociaux, de centres sociaux, car s’il faut d’avantage de gardiens de la paix, ceux-ci ne suffisent pas ;

Une politique d’emploi ambitieuse, car le coeur du problème est là : quoique ça demeurerai très insuffisant, cette politique nécessite, entre autre, une mobilisation bien plus forte de la « clause sociale » pour qu’une partie des emplois du grand Paris, de l’Arena, etc. qui vont fortement transformer notre quartier soit réservée aux privé·e·s d’emploi de notre bassin d’emploi ;

Une politique culturelle, reposant sur les demandes de la population et travaillant à faire connaître aux habitantes et habitants l’offre sociale et culturelle dans le quartier ;

Une École de qualité, pour toutes et tous, assurée par l’Éducation nationale et assurant l’égalité des chances pour les enfants de nos quartiers en donnant au personnel enseignant les moyens de leurs missions et en assurant, comme le propose le Programme des Jours Heureux du Parti communiste, que les devoirs soient faits à l’école grâce à la formation et l’embauche de nouveaux personnels pour ce temps périscolaire.

Notre quartier a besoin que la Mairie et l’État cessent de se renvoyer la responsabilité. Oui, la Mairie ne peut pas tout, mais nous demandons à celle-ci d’agir sur ce qui est de sa responsabilité, de reconnaître les besoins du quartier et de se mobiliser à nos côtés pour que l’État prenne aussi ses responsabilités !